Pour les fées et les elfes, le temps n’est point et n’existe aucun conflit et de lourdeur.
La vie se joue et se rejoue dans un cercle infini.
Et la joie est l’essence du coeur de l’enfant.
Je visite ces mondes depuis ces terres lointaines, et ce, bien avant que ces vents en perdent leur repèrent.
Je me laisse touchée par cette délicatesse et cette ouverture pour me transmettre avec grande sagesse cet enseignement du temps des fées et de cette terre dont elles trouvent l’ancrage.
Elles se laissent bercer par la brise d’un coeur léger et d’un coeur vibrant, qui saura l’inviter à lui tendre une fleur pour la laisser se poser et apporter à l’humain bien des vérités.
Ces vérités ne font qu’un avec ceux et celles qui se rappelleront que cette terre des fées est l’ouverture à donner matière aux rêves qui habitent leurs vies.