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Êtes-vous assis entre deux chaises?

C’est assez inconfortable se retrouver à ne pas savoir quoi faire? Quoi décider?

Ça fait perdre un temps fou de ne pas savoir comment donner une direction à sa vie. Et en plus ça fait douter et nous enlève notre capacité à aller de l’avant.

Je vous pose la question dans cette vidéo si vous avez tendance à tarder avant de prendre des décisions et si vous êtes présentement assis entre deux.

Je décide d’aller de l’avant malgré le manque d’assurance que je possède ou bien je continue à vivre tout de même de l’inconfort et je choisis de continuer à stagner et à tourner en rond?

Se résigner ou s’abandonner à…?

facebook_1457381199042Se résigner désigne le fait d’accepter, sans protestation ni révolte, quelque chose de pénible, de fâcheux, qui paraît inéluctable – c’est la définition que donne le dictionnaire Larousse.

L’abandon désigne le fait de délaisser, de négliger ou de se séparer volontairement d’un individu, d’un bien ou de renoncer à un droit, selon la définition que l’on retrouve dans Wikipedia.

Vous arrive-t-il par moment d’être découragé et de vous sentir dans une impuissance telle que les deux bras vous tombent et vous vous sentez tellement découragé?

Vous pensez peut-être aussi que si vous laissez tomber la lutte et que vous ne faites que vivre votre moment présent, vous ne serez plus quoi faire?

Il s’agit peut-être seulement que vous avez toujours fonctionné seul et juste l’idée de demander de l’aide et du soutien vous donne la nausée?

BRRRRR, je ne sais pas trop… c’est peut-être cela : des fois oui et des fois non!!

Je sais, pas facile de vous voir aller et de constater que vous agissez dans la lutte pour passer à travers votre vie, pour traverser des épreuves difficiles, pour gagner votre vie, pour réussir à être heureux, pour obtenir un titre, pour faire vos preuves et surtout pour apprendre à devenir QUELQU’UN d’autre QUE VOUS.

On pense souvent que si on ne se bat pas, on est faible et on se résigne à subir dans notre vie. Vous savez, cesser le combat est un moyen de commencer à sortir de notre zone de résistance à la vie pour enfin donner de la place à la vie en nous. Être dans le combat fait en sorte que l’on attire des expériences, des situations, des personnes qui nous reflètent l’énergie dans laquelle nous sommes et donc si nous sommes avec nos gants de boxe on risque donc d’attirer des personnes et des situations pour se battre encore et encore…

Se rapprocher de notre essence, sortir de notre état de survie pour enfin se donner le doit de se connecter à notre véritable essence c’est commencer a vouloir sortir de la performance et des standards que l’on s’impose.

La voix de notre essence se trouve dans le fait que l’espace que l’on libère à donner plus de place à la vie et par le fait que l’on cesse de vouloir tout gérer et contrôler : cet espace fait place a plus de vie et plus d’amour pour soi.

Mais qu’est-ce qui vous rend si batailleur? Qu’est-ce qui fait que vous ne savez pas déposer vos gants de boxe pour cesser de vous battre et pour faire arriver du bon pour vous ?

3 stratégies pour vous abandonner à votre vraie nature

Stoppez-les, il faut, stopper, je dois donc faire, stopper, je dois répondre à des standards élevés pour me faire aimer et me faire accepter.

Dans le « il le faut » on retrouve toute la charge de l’obligation de répondre à des attentes externes et à être toujours mieux pour obtenir ce que vous voulez mais aussi ce que les autres attendent de vous. C’est une pression constante pour bien souvent agir en fonction des autres. C’est bien différent que de prendre la décision d’accomplir une vision et des rêves dans la conscience et dans votre plein pouvoir de ce que vous êtes réellement.

Se donner le droit de… oh là là que c’est pas toujours facile et pas toujours au rendez-vous! Se donner le droit d’agir comme bon vous semble, selon vos idées et selon ce que votre cœur et votre âme réclame est bien loin de s’oublier pour les autres.

Combien de fois avez-vous dit « oh non, je ne peux pas dire non à une personne parce qu’elle m’a tellement donnée auparavant » et vous ne pouvez pas refuser car vous vous sentez en dette. Combien de rendez-vous manqués avec vous-même pour préférer répondre aux attentes des autres.

Se donner le droit de…. c’est se donner la permission d’être, malgré la culpabilité qui peut parfois est présente malgré la peur de déplaire aux autres.

C’est aussi apprendre à accepter que vous n’êtes pas parfait et parfaite. Ah! On la connaît tous celle-la mais est-ce que nous savons y faire? Se montrer indulgent envers soi n’est pas inné pour bien des gens. Apprendre à devenir doux c’est considéré comme si on pense trop à soi, c’est souvent aussi perçu comme un geste égoiste de notre part.

Devenir bon et accepter que vous avez vos limites, que vous pouvez vous permettre de pleurer, rire, d’être en colère et se permettre aussi de l’exprimer est un sacré pas pour vous abandonner à devenir votre vraie nature sans sentir que vous devez vous résigner à être quelqu’un d’autre et jouer le jeu pour vous faire aimer à tout prix.

Je suis toujours très heureuse de lire vos commentaires et de partager avec vous.

PS :  Petit service à vous demander, si vous pensez que cet article peut venir faire la différence dans la vie de votre entourage, partagez SVP.

Merci!